Lope gay encagée très obéissante

Catégories : Fist dilatation extrême GAYS bondage SM sodom, fist club
il y a 3 ans

Après qu’Alex et Hakim soient partis, Franck me fit descendre avec lui dans le salon. Il sortit une bière du frigo et s’installa sur le canapé pour mater un match de foot à la télévision. Il m’ordonna de venir à ses pieds. Il s’était mis en jogging et était pieds nus.

  • Lèche-moi les pieds salope.

Je m’exécutais pendant presque un quart d’heure. Il buvait toujours sa bière. Il me fit redresser la tête et me cracha une grosse gorgée de bière sur le visage.

  • Tu es vraiment une bonne pute !

  • Oui.

A ce moment-là, la porte de l’entrée s’ouvrit et un grand black en jean et blouson noir entra.

  • Salut Moktar ! J’ai mis de la bière au frais, si tu veux.

  • Non, pas maintenant.

Il entra dans le salon et me dévisagea.

  • C’est lui la pute à dispo ? Beau cul !

  • Il est entièrement à ton service, mec et avec sa cage de chasteté, il n'a plus que 2 trous à offrir.

  • Pas tout de suite. Là je suis naze et vénère ! Je me suis fait virer du boulot !

  • Putain, tu as déconné ?

  • Je me suis pris la tête avec mon chef et… Bref, je lui ai foutu mon poing dans la gueule !

  • M e r d e ! Installe-toi. Cette salope va te lécher les pieds pour te détendre.

Il m’ordonna de lui lécher les pieds. Je m’approchai de lui, lui ôtai ses chaussures et ses chaussettes et commença à lui lécher les pieds.

  • Tu as raison, Franck, c’est un vrai esclave. Une vraie lope.

  • Grave.

Je le léchais depuis cinq minutes quand on sonna à la porte. Franck alla ouvrir.

  • Moktar, c’est le proprio, il veut son chèque. Il le veut maintenant.

  • Me r d e ! Fais le entrer.

Moktar se leva et alla saluer le proprio qui venait d’entrer dans le salon. C’était un beur d’environ 45 ans, bien portant avec plus de graisse que de muscles. Mais raisonnable ! Il avait les cheveux noirs très court et un bouc. Des yeux noirs.

  • Ecoutez M. Kharssim, je pourrais vous donner le chèque dans deux jours. J’attends un virement de mon travail, déclara Moktar.

  • Ça fait déjà dix jours que je vous laisse. C’est fini les délais.

  • Je vous dis que ça sera sûr dans deux jours. Vous avez ma parole.

  • Difficile de vous croire.

  • Pour vous faire patienter encore un peu, je vous offre ça, déclara Moktar en me désignant.

Le proprio porta son attention sur moi et me remarqua entièrement nu et à quatre pattes.

  • Quoi ?

  • Je vous offre la possibilité de vous divertir avec cette salope. Ne faites pas le désintéressé, vous habitez au dessus et on connaît vos penchants pour les keums quand votre femme n’est pas là.

Le proprio me regarda sans répondre puis finit par dire : « Mais ma femme est là ce soir.

  • Vous êtes également chez vous, ici, alors profitez en sur place.

  • Bien, mais ça veut pas dire que j’accepte le délai. Je teste avant.

  • Vous devez accepter pour vous régaler, précisa Moktar. Regardez ce beau cul et cette bouche à pipe. Vous en avez jamais eu de tel.

  • Ok.

  • Vous pouvez monter avec lui là haut. Quant à toi salope, tu vas faire tout ce que M. Kharssim te dira. Compris ? Sinon tu vas dérouiller.

Le proprio me fit monter à l’étage dans la chambre.

  • Alors tu n’es qu’une pute ? (J’acquiesçais). C’est bien de baiser des salopes comme toi, ça en redemande toujours.

Il enleva son pull dévoilant son torse poilu et enrobé.

  • Approche, salope.

Je rampais vers lui, complètement nu. Il ouvrit son jean et son slip et les retira, se retrouvant en chaussettes devant moi.

  • Lèche mes pieds !

Je retirai ses chaussettes et m’exécutais.

  • Bien sale pute.

Il m’attrapa par la tête et me colla sa queue dans la bouche m’ordonnant de sucer. Je m’exécutais en avalant sa queue déjà dure à l’idée de me baiser. Elle n’était pas très grande (autour de 15 cm) mais assez grosse. Je devais bien ouvrir la bouche pour le sucer. Je le suçais en faisant glisser ma langue dessus ? Ceci l’excita au plus haut point. Il m’attrapa les cheveux et commença à me défoncer la bouche. Il entrait entièrement sa grosse queue dans ma bouche pour m’enfoncer la tête dans ses poils.

  • Hum, tu es vraiment une salope ! Je crois que tu vas faire plusieurs séjours chez moi ! Tu aimerais ça sale pute ?

  • Oui.

  • Passe moi une capote !

Je me relevai et ouvris le placard où j’avais vu Franck prendre les préservatifs dans l’après-midi. Il y avait également du gel. Je lui tendis la capote et pendant qu’il l’enfilait je me badigeonnais le cul de gel pour limiter la douleur. Bien m’en pris car une fois que je fus à quatre pattes, il s’enfonça direct me faisant gueuler de douleur. Il me limait vite puis ralentissait démontrant ainsi qu’il ne voulait pas jouir trop vite. Pendant cinq minutes il me défonça le cul en m’insultant. Ma cage de chasteté ballottait dans tous les sens sous ses coups de bite puissants. Alors que je commençais à prendre mon pied, il s’arrêta net et se retira.

  • Tu n’as pas joui de la journée ? C’est trop facile ça petite pute ! Allez vide toi les couilles !

  • Mais…

  • Ta gueule, beugla t’il en me collant une baffe. Exécution salope !

Il voulait me faire jouir pour que je n’ai plus de désir sexuel et que ses saillies de taureau me fasse l’effet d’un v i o l . Je commençais à me branler. Il m’exhorta à jouir pas à me caresser. Finalement je jouissais dans mes mains et sur le carrelage.

  • Lèche ton foutre, m’ordonna t’il !

  • Non, c’est…

Une autre baffe !

  • Obéis sale pute !

Je me penchai et léchai tout le sperme que j’avais foutu par terre.

  • Penche-toi de nouveau salope !

Je me remis à quatre pattes et il s’enfonça de nouveau dans mon cul lubrifié. Cette fois, ce fut douloureux et humiliant. Je n’éprouvais plus le moindre plaisir. Il pris tout son temps, s’arrêtant souvent. Il m’insultait copieusement. Sa queue me déchirait les entrailles. Ses mains me tenaient solidement par les hanches pour mieux assurer sa prise et ainsi mieux me défoncer. Après dix minutes, il se retira d’un coup, puis ôtant la capote, m’attrapa par les cheveux et éjacula sur ma gueule.

  • Tu vois, là tu es vraiment une sale pute !

Il s’essuya avec ma veste qui était toujours par terre. Voyant qu’elle était pleine de foutre, il me regarda puis lâcha :

  • Tu es un vrai trou à jouir, un vide-couille ! Dis-toi qu’on va se revoir très vite, sale pute.

Il descendit l’escalier et j’entendis qu’il accordait un délai d’une semaine à Franck et Moktar. Il ajouta qu’il y aurait d’autres visites pour valider complètement l’accord.

Une fois le propriétaire parti, Franck monta à l'étage et me trouva en train de m'essuyer le foutre que j'avais sur le visage à l'aide de ma veste.

  • Je suis content de toi, tu es une bonne salope, me lança t'il ! Maintenant va voir Moktar en bas et sois une bonne tepu !

J'étais crevé, humilié, je n'avais plus la moindre excitation. Je voulais rentrer chez moi mais j'avais peur si je disais quelque chose. Je redescendis, toujours à poil, pour me mettre à 4 pattes aux pieds de moktar. Celui-ci m'ordonna de reprendre mon léchage de pieds.

  • Suce-moi salope !

Je me mis à déboutonner son jean et je sortis son sexe de son caleçon blanc. Je commençais à le sucer de mon mieux et sa bite devint rapidement énorme. Une grosse queue de 23cm par 5 de largeur noire. J'étais fatigué et l'excitation était passée, cependant, je devais continuer à m'exécuter au risque de me faire baffer par Franck.

  • C'est vraiment une sale pute, dit-il à Franck qui descendait l'escalier.

  • Ouais c'est un bon bâtard, j'en reviens pas de la chance que j'ai d'avoir ça à ma disposition. J'ai vraiment envie de m'en servir au maximum.

  • Bon passons aux choses sérieuses… remarqua Moktar. Tu vas donner ton cul.

Sur ce, il se retira de ma bouche meurtrie et alla enfiler un préservatif.

  • Moktar, il a fini le gel avec le proprio !

  • Alors j'espère pour lui qu'il a le cul encore bien graissé car je suis lancé.

Il me retourna alors à même le sol et avança son énorme bite près de mon trou ouvert. Il visa l'ouverture et f o r ç a d'un coup l'entrée, entraînant un cri de douleur de ma part. Je gueulais comme un malade. Il continuait ses va et viens tel un chien en rut, me déchirant les entrailles et m'élargissant le cul. Il accélérait une cadence qui semblait ne pas pouvoir l'être. Un instant j'ai cru qu'il allait se casser le frein. Mais non il tint bon. Il voulait cracher rapidement sa purée. Du moins en avais-je l'impression. Franck regardait en se branlant. Moktar le regarda puis s'arrêta et déclara :

  • Hé on lui défonce sa chatte à deux ?

  • Quoi, réagit Franck !

  • On le doublefuck. A deux dans son trou de pute !? Je rêve de faire ça depuis longtemps, déclara t'il alors qu'il recommençait à m'éclater le piston.

Je commençais à grave flipper car vu la taille de la bite de Moktar (23cm / 5cm ) plus celle de Frank (18cm / 4cm) je pensais pas m'en sortir le cul indemne, déjà que là…

  • Mais, tu lui emplis déjà royalement le trou, il y a plus de place pour un petit doigt…

  • Si tu f o r c e s, ça devrait rentrer… Faut juste changer de position. C'est une pute avec un trou à jouir que t'as dégottée, elle encaissera pire que ça, crois-moi.

Il se retira de mon trou ouvert, vira son jean, son caleçon et son sweat pour être à l'aise puis monta sur la table basse et s'installa sur le dos entièrement nu la queue fièrement dressée. Il en imposait mais j'étais terrifié.

  • Empale-toi batard, ordonna Moktar !

  • Non, je ne veux pas être doublefucker… commençai-je.

  • Ferme ta gueule beugla t'il. Tu vas faire tout ce qu'on t'ordonne sinon tu vas passer un très mauvais quart d'heure. Compris salope ?

  • Oui…

  • Oui Qui sale pute ?

  • Oui Maitre.

  • Mieux sale chienne, allez, empale ton trou a jute sur mon sexe !

Je m'exécutais, en m'installant à califourchon et je rentrai son dard direct dans mon trou bien ouvert par sa précédente intrusion.

  • Tu vois, tu es qu'une sale pute ! Ma queue rentre toute seule dans ton garage à bite ! J'ai même pas eu besoin de f o r c e r.

Il commença ses va et viens dans mon trou mais la position l'empêchait d'aller vite. Quand il eu fait complétement son trou, il regarda Frank.

  • Allez viens toi aussi. Enfonce-toi dans son trou.

Frank vira ses fringues pour se foutre à poil et se plaça derrière moi. Il appuya sur mon dos afin que je me penche au maximum vers Moktar et présente mon trou déjà intégralement rempli. Il enrubanna sa queue et s'approcha de l'entrée largement occupée. Il pressa à côté de celle de Moktar mais il n'introduisit rien.

  • C'est trop serré, il faut lui former le trou petit à petit… précisa Frank

  • Non, ça sera aujourd'hui et directement. Tu as peur de l'abimer ou quoi ?

  • J'en ai rien à secouer de cette pute, c'est juste que ça va pas rentrer.

  • Je te dis que si tu f o r c e s, ça va rentrer, lui indiqua Moktar à bout de patience. Tu le kiffes ou quoi ?

  • Non, c'est juste un vide couille.

En prononçant ces mots, il s'était approché de l'entrée et il tenait bien fermement sa queue de façon à ce qu'elle ne se torde pas puis il commença son forage. Il rentra le gland me faisant hurler de douleur. Il continua sa progression et dès que le gland fut à côté de la queue de Moktar, il prit son élan et pénétra par la f o r c e le reste de ses 18 cm dans mon trou, toujours sous mes cris de douleur. Quand ses couilles touchèrent celles de Moktar et mes fesses, je cru que ce n'était pas possible. Je voyais des étoiles. Mon cul devait être complètement ravagé, inutilisable… Cependant loin de s'arrêter, une fois qu'ils furent côte à côte, ils harmonisèrent leurs mouvements pour me baiser le trou en cadence. Mon cul se prenait intégralement deux grosses queues.

  • Tu vois, tu es vraiment une chienne, une sous-m e r d e à partir de ce jour. Seuls les batards se font doublefucker me souffla Frank.

  • Il l'était déjà mentalement répondit Moktar. Maintenant il l'est aussi physiquement. Tous les mecs qui passeront dans ton trou sauront que tu as été un jour doublefucker. Tous sauront que tu es une pute, une lope. Et tu en es vraiment une.

Ils continuaient à me cartonner le cul. Au bout d'un moment, je ne sentais ni jouissance ni douleur. J'étais une pute qui se faisait baiser, c'est tout. Au bout de 5 minutes de pilonnages intensifs, Moktar proposa qu'ils jouissent en chœur. Ils accélérèrent l'allure puis se retirèrent en même temps, ôtant leurs préservatifs, pour déverser leur foutre sur mon trou ouvert comme un goulot de bouteille. Le sperme coula sur mes fesses et dans mon trou béant.

  • Voilà une pute marquée déclara Moktar.

  • Oui soufflait Frank, haletant. Mais il vaut plus rien maintenant. Personne ne voudra baiser un cul grand ouvert.

  • Au contraire, je suis d'accord que, maintenant, il ne vaut plus rien pour nous, mais qu'il va trouver son utilité ailleurs. J'ai des projets pour ce garage à bite. De bons projets… Nettoie nous les bites, sale pute et le sol aussi.

  • Des projets questionna Frank ?

  • Viens je vais t'expliquer.

Je m'exécutais en léchant le sperme sur leurs queues et sur le sol. J'avalais et nettoyais comme il se doit.

Ils se douchèrent m'ordonnant de rester à 4 pattes, le trou ouvert comme un goulot de bouteille, ouvert aux courants d'air frais.

Pierre

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Bien lopé, bien baisé et ne pouvant jouir que du cul, hummmm
Le deux en un, cela doit être mortel ! ! !
Bien racontre trop bandant , moi qui suis tres salope , , soumis , etreun garage a bite humca donne envie
mon amie a voulu me voir prendre deux bites dans mon cul,on a fait ça au club des sissy,je me suis assi sur la premiere bite,l'autre ,forçant pour faire rentrer sa bite a coté de l'autre, me l'as enfonçé d'un coup,douleur terrible
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